mercredi 5 octobre 2011

De Paris à Maribor



08h30, la porte de la rue de Lesdiguières se ferme derrière moi : direction Aéroport
Charles de Gaule 2 ! L’aventure commence déjà : le métro et sa horde de parisiens stressés,
et mes 40Kg de bagages répartis dans 2 sacs à main, une valisette et deux grands sacs à roulettes !
Escaliers, bousculades et roulette défaillante, un vrai parcours du combattant ! Heureusement,
Cécile est avec moi et elle connait bien la route.

Ligne 1, Chatelêt les Halles, deuxième série de couloirs interminables pour rejoindre le RER.
Panique ! Un petit escalier à descendre encore, alors qu’un flux de passants se presse
dans le sens inverse et derrière nous, nous ressentons l’impatience.
Nous sommes obligées de solliciter de l’aide auprès du premier venu.
Celui-ci ne se montre pas très coopératif et descend le plus gros sac sans précautions.
Sans écouter nos marques de gratitude, il s’enfonce dans l’escalator suivant.
Quelques minutes plus tard, la lanière du sac nous lâche,
heureusement nous sommes alors à quelques mètres du quai du RER.

9h30 arrivée à l’aéroport, tout se passe sans encombre. L’ambiance est plus relax.
D’ailleurs, j’ai l’air plutôt détendue pour quelqu’un qui part pour 3 mois à l’étranger !


 11h : décollage. Le vol sera marqué par la vue superbe que nous avons eue sur les Alpes enneigées.
L’atterrissage fût également spectaculaire. L’aéroport de Brnik se trouve au milieu des montagnes !


Une navette nous conduit à la gare de Ljubljana où nous prenons un sandwich au soleil,
en attendant le train qui nous mènera à Maribor.
C’est notre première confrontation avec la langue slovène, le menu n’est pas traduit.
Après discussions et déductions, je commande un « fransco » sandwich,
en supposant que ce sera un jambon-beurre.

15h12 Départ du train pour Maribor. Les paysages sauvages défilent devant nos yeux :
prairies verdoyantes, forêts d’immenses sapins et maisons colorées qui ponctuent le décor.

 
Quelques heures plus tard, nous voilà enfin à Maribor !
Le sac à la roulette défaillante crie son désespoir à l’idée de rejoindre l’hôtel à pied …
et pourtant nous y parvenons, bien fatiguées mais heureuses d’être enfin arrivées.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire